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Suite à la disparition de Nasrallah, les observateurs politiques s'interrogent sur l'avenir du Hezbollah. Une source de premier plan a affirmé : "cela pourrait changer le visage de la région et représente une opportunité stratégique." Cette remarque souligne le potentiel de transformation des rapports de force, tant à l'intérieur du Hezbollah qu'en ce qui concerne l'influence iranienne dans la région.
Pour sa part, l'armée israélienne a insisté sur l'importance de cette opération, déclarant : "L'Armée de défense a éliminé Hassan Nasrallah hier." Un tel propos constitue une victoire considérable pour Israël dans son conflit prolongé avec le Hezbollah, incitant probablement toutes les parties à réévaluer leurs stratégies respectives.
En outre, la disparition d'une figure aussi centrale remet en question les plans de succession au sein du Hezbollah. Alors que la crise s'intensifie, "le parti est confronté à une situation chaotique", ce qui met en lumière les difficultés à maintenir l'unité et la direction après l'assassinat de Nasrallah.
En réaction à l'assassinat de Nasrallah, l'Iran a exprimé son indignation, des responsables déclarant que "les criminels sionistes doivent comprendre qu'ils sont trop insignifiants pour infliger des dommages significatifs à la structure solide du Hezbollah." [عنب بلدي] Ce sentiment éclaire l'engagement de l'Iran à soutenir le Hezbollah dans un contexte de tensions croissantes.
Les déclarations officielles du Hezbollah reflètent cette détermination, affirmant leur volonté de poursuivre leur mission : "Notre direction s'engage à continuer sa lutte contre l'ennemi." Cette assertion illustre leur volonté de résister, même face à des pertes importantes.
Cependant, l'appel à la riposte est indéniable, les experts avertissant que "les réponses de l'Iran et du Hezbollah seront sévères", suggérant que des mesures de représailles pourraient être imminentes alors que les deux entités cherchent à prouver leur résilience.
L'assassinat a suscité des inquiétudes quant à la possibilité d'une violence croissante à travers la région. Les spécialistes mettent en garde que "l'incapacité du parti à riposter sera exploitée par Netanyahu pour d'autres attaques" [اندبندنت عربية], signalant un équilibre précaire des forces qui pourrait rapidement se transformer en un conflit plus large.
Par ailleurs, avec l'implication des États-Unis qui semble probable, "nous ne savons actuellement pas comment l'assassinat influencera la position du Hamas vis-à-vis des captifs" [العربي الجديد], soulignant l'interconnexion entre ces différents groupes et le risque d'une confrontation plus vaste impliquant de multiples acteurs.
Alors que la situation continue d'évoluer, les appels à des efforts diplomatiques internationaux se font de plus en plus pressants, beaucoup plaidant pour "un cessez-le-feu" [الشرق للأخبار Asharq News] afin de prévenir d'autres effusions de sang et de faciliter des négociations visant à stabiliser la région.