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À l'approche de l'assassinat, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a exposé les raisons qui sous-tendaient cette action décisive, déclarant : "L'élimination de Nasrallah est une condition sine qua non pour atteindre nos objectifs : assurer le retour en toute sécurité des habitants du nord dans leurs foyers et modifier l'équilibre des pouvoirs dans la région pour des années." [סרוגים] Cette affirmation met en lumière la conviction du gouvernement israélien selon laquelle l'éviction de Nasrallah était essentielle pour restaurer la sécurité et la stabilité au nord d'Israël tout en réajustant les dynamiques de pouvoir régionales. Nommée "Opération Nouvel Ordre", cette opération a été minutieusement orchestrée, les stratèges militaires ayant saisi une occasion unique de frapper à un moment clé.
Par ailleurs, les responsables israéliens ont souligné l'urgence de l'intervention, insistant sur le fait que "Tant que Nasrallah est en vie, il rétablira rapidement les capacités que nous avons sapées du Hezbollah." [איתמר אייכנר, ynet ידיעות אחרונות] Cette perspective révèle une préoccupation profonde que la survie de Nasrallah représente une menace persistante, permettant au Hezbollah de se rétablir et de reconstruire ses ressources. L'évaluation par la direction israélienne du paysage stratégique s'est avérée cruciale dans leur processus décisionnel, culminant finalement dans la mise en œuvre de l'opération.
Alors que les Forces de défense israéliennes initiaient la frappe aérienne, le message était clair : "Nasrallah n'était plus un terroriste. Il était LE terroriste." [איתמר אייכנר, ynet ידיעות אחרונות] Cette caractérisation de Nasrallah comme un adversaire d'une importance singulière renforce l'idée que son élimination n'était pas simplement tactique mais fondamentalement stratégique, visant à perturber le leadership central et les capacités opérationnelles du Hezbollah.
Suite à l'assassinat, Netanyahu a émis une déclaration frappante, affirmant : "L'État d'Israël a éliminé l'archi-terroriste Hassan Nasrallah hier. Nous avons réglé nos comptes avec celui qui est responsable du meurtre de nombreux Israéliens." [איתמר אייכנר, ynet ידיעות אחרונות] Cette proclamation a été soigneusement formulée pour résonner tant sur le plan national qu'international, réaffirmant la position d'Israël face au terrorisme et son engagement envers la sécurité nationale. L'action rapide du gouvernement israélien a été présentée comme une étape cruciale dans une stratégie plus large visant à contrer les menaces émanant d'Iran et de ses mandataires.
Cependant, le paysage politique demeure complexe. Certains responsables israéliens ont exprimé des préoccupations quant au timing et aux ramifications potentielles de l'assassinat, redoutant qu'il n'accentue les tensions dans la région. Des rapports indiquent que "dans les cercles de sécurité, on a mentionné que la préparation opérationnelle était en place depuis mardi, attendant des approbations finales de l'échelon politique." [יואב זיתון ביחד עם איתמר אייכנר, ynet ידיעות אחרונות] Ce commentaire souligne les délibérations internes au sein du gouvernement israélien concernant le moment et l'exécution de l'opération.
À l'international, les réactions ont varié considérablement. Si certains alliés ont exprimé leur soutien aux actions d'Israël, d'autres ont mis en garde contre le risque d'une escalade de la violence. L'affirmation de Netanyahu selon laquelle "Israël est à vos côtés" [סרוגים] pour ceux qui s'opposent à l'"Axe du mal" [איתמר אייכנר, ynet ידיעות אחרונות] illustre le désir d'Israël de se positionner comme une force stabilisatrice dans la région, mais les implications plus larges pour la géopolitique du Moyen-Orient restent incertaines.
L'élimination de Nasrallah a suscité une réévaluation des stratégies de sécurité nationale en Israël, en particulier en ce qui concerne les capacités du Hezbollah et l'influence de l'Iran dans la région. Les services de renseignement israéliens ont averti que "l'Unité 910 du Hezbollah représente une menace claire et immédiate pour les intérêts israéliens et juifs dans le monde." [מעריב און ליין] Cette reconnaissance des menaces persistantes souligne la nécessité d'une vigilance et d'une anticipation stratégique dans la politique de défense israélienne.
Par ailleurs, la préparation opérationnelle de l'armée israélienne a été scrutée, les responsables déclarant que "en Israël, on estime que plus de 50 % de la force du Hezbollah a été réduite." [חרדים10] Cette évaluation indique un changement significatif dans l'équilibre des pouvoirs, mais soulève également des questions sur les réactions potentielles du Hezbollah et la stabilité générale de la région après le retrait de Nasrallah.
Alors qu'Israël navigue à travers ce nouveau paysage, il doit également prendre en compte les répercussions plus larges de ses actions. La remarque de Netanyahu selon laquelle "Il n'y a pas d'endroit en Iran ou au Moyen-Orient que le long bras d'Israël ne pourra atteindre" [סרוגים] reflète un engagement indéfectible à traiter les menaces perçues, mais cela signale également une préparation à une escalade potentielle, nécessitant une gestion prudente des relations et des conflits régionaux.