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Face à l'intensification des tensions, l'armée israélienne se trouve dans un état d'alerte élevé, des rapports indiquant que "l'armée est prête pour une guerre plus large et qu'une opération terrestre est une option." Cela suggère qu'une opération terrestre, bien qu'encore non confirmée, est prise au sérieux. En outre, des sources affirment que "la décision d'une opération terrestre au Liban n'a pas encore été prise, mais il a été confirmé que l'armée est prête pour cela." [الجزيرة نت]
Au-delà des préparatifs militaires, des inquiétudes croissantes émergent concernant les répercussions potentielles d'une telle opération. Un haut responsable américain a mis en garde en affirmant que "Washington a prévenu qu'une invasion terrestre du Liban pourrait avoir des résultats contre-productifs." [الجزيرة نت] Cette déclaration souligne l'équilibre délicat qu'Israël doit maintenir alors qu'il envisage une action militaire contre le Hezbollah.
En outre, les implications stratégiques d'une opération terrestre méritent d'être examinées. Des responsables israéliens soutiennent qu'"une opération terrestre au Liban serait limitée si elle était approuvée," [الجزيرة نت] suggérant que tout engagement militaire serait probablement soigneusement calculé et circonscrit dans le but d'éviter un conflit plus vaste.
L'assassinat de Hassan Nasrallah a résonné à travers la région, soulevant des interrogations sur son impact sur les capacités opérationnelles du Hezbollah. Les analystes avancent que "l'assassinat de Nasrallah a créé une opportunité de changement stratégique," [Al Modon] ce qui pourrait modifier l'équilibre des pouvoirs tant au Liban que dans le Moyen-Orient élargi.
Néanmoins, cet assassinat a également suscité des interrogations quant à l'avenir du Hezbollah et à son cadre de leadership. Des rapports indiquent que "le Hezbollah a commencé à planifier des attaques contre Tel Aviv," [Elnashra.com] suggérant que le groupe pourrait réagir avec une agression accrue afin de réaffirmer son influence malgré la perte de son leader.
Par ailleurs, l'administration américaine a exprimé des préoccupations concernant le potentiel d'escalade, un responsable déclarant que "Israël ne sera pas en mesure de ramener en toute sécurité ses résidents chez eux dans le nord d'Israël par le biais d'une guerre totale avec le Hezbollah ou l'Iran." [الجزيرة نت] Cela met en lumière la nature volatile de la situation actuelle et le risque d'un conflit élargi.
Les événements au Liban dépassent les préoccupations immédiates d'Israël et du Hezbollah, car ils représentent une menace significative pour la stabilité régionale. Des responsables américains ont averti que "les opérations israéliennes ont détruit le Hezbollah en tant qu'organisation," [الجزيرة نت] soulignant le risque d'un vide de pouvoir que d'autres acteurs régionaux, y compris l'Iran, pourraient exploiter.
De surcroît, la communauté internationale suit de près l'évolution de la situation, appelant à la retenue et à l'engagement diplomatique. Les analystes estiment que "la poursuite des frappes contre le Hezbollah restaurera la capacité de dissuasion perdue par l'armée israélienne," [Al Modon] soulignant l'importance d'une réflexion approfondie sur les actions militaires pour éviter des conséquences durables.
Alors que la situation évolue, la menace d'un conflit élargi plane de manière préoccupante, des experts mettant en garde que "la cessation des opérations pourrait permettre au Hezbollah de reconstruire ses capacités," soulignant ainsi l'urgence de résolutions diplomatiques face à des tensions militaires croissantes.